Tout d’abord, vous constaterez que les posts s’espacent un peu sur ce blog. Vous en trouverez la raison profonde dans un très prochain post, mais sachez qu’on ne s’ennuie pas pour autant chez The Onlooker.
Les derniers mois ont été bien rempli, particulièrement en ce qui concerne la photo de théâtre.
Le puits qui parle – Et la lumière fuit…
J’ai découvert Le puits qui parle, une compagnie basée à Chavagne, à travers cette pièce si particulière.
Dans ce décor simple et fort, Le puits qui parle déroule 60 minutes d’une pièce extrêmement originale, axée sur me monde du spectacle dans son ensemble sur fond de philosophie des lumières.
Le contenu est riche, la mise en scène superbe, donnant une densité assez impressionnante au tout.
À voir à Vern/Seiche le 23 mai.
Pour les plus curieux, on trouve une galerie complète ici !
Le puits qui parle – Ubu Roi
Une collaboration intéressante ne s’arrêtant pas à la première pièce, j’ai été ravie de suivre également Ubu Roi.
Ici la fameuse pièce d’Alfred Jarry est concentrée dans une petite boîte noire qui rappelle les théâtres de marionnettes. Tout se joue donc dans cet espace confiné, et il était intéressant du point de vue photographique de garder un point de vue immuable pour les scènes globales.
L’absurde de la pièce est renforcé par une mise en scène rythmée, alors que la pléthore de personnage n’est jouée que par trois acteurs. Les accessoires définissent alors le personnage.
On trouve l’intégralité de la galerie ici.
Le puits qui parle – Sans patrie
À partir des livres « Sans Patrie » de N. M’Dela Mounier et « L’immigration n’est pas une histoire sans paroles » de N. M’Dela Mounier et T. Diakité, Valéry Forestier et le Puits qui parle raconte sous forme théâtrale l’histoire des maliens sans papiers travaillant à l’abattoir de porcs de La Cooperl à Montfort-sur-Meu, arrêtés et expulsés en 2007.
Le décor, consitué de malles de tailles variées, se construit au fur et à mesure de la narration.
Entre conte et documentaire, ils rapportent ce qui fut bien plus que le « fait divers » de Montfort.
On trouve plus de photos ici.
Compagnie Staccato / Théâtre Berloul – Le médecin malgré lui
On avait déjà assisté à la Générale du Médecin malgré lui en mai 2013 à l’atelier des Couettes.
La pièce était jouée au Théâtre de la Parcheminerie en février, l’occasion de photographier un filage entre deux repérsentations.
Maintenant maquillés, leur jeu affuté, les acteurs du Théâtre Berloul et de la compagnie Staccato délivrent un « Médecin » relu à travers une scénographie épurée.
La galerie complète se trouve ici.
Théâtre l’Élixir – Sollo Dell’Arte
Pendant 2 heures, Philippe Fagnot y délivre à la fois une magistrale performance d’acteur et une conférence ludique sur la fameuse Commedia dell’arte.
Tour à tour Zanni le bouffon benêt, Arlecchino le filou, Brighella l’intrigant, Pantalone l’avare, Dottore le bavard, Pulcinella le rusé, Capitano le fantasque ou l’Amoureux pédant grâce au jeu des masques, Philippe Fagnot transforme à volonté son expression corporelle et sa voix pour nous décrire les personnages les plus fameux de la Commedia.
On en sort instruit et amusé. Quand à la galerie complète, on la trouve là.